L'objectif de cette étude est de vérifier à quelle latence les mécanismes de mémoire implicite de visages diffèrent en fonction du contexte émotionnel négatif ou positif associé au visage. Pour cela, des visages neutres sont présentés accompagnés de phrases décrivant une situation arrivée à la personne et pouvant induire chez elle une émotion positive (la joie) ou négative (la colère). Les mêmes visages sont à nouveau présentés, 1 à 7 min plus tard mais cette fois-ci sans contexte. Dans quelques essais, le visage change et est remplacé par celui d'une autre personne. La tâche des sujets est de porter leur attention à la fois sur les visages et sur les phrases entendues et répondre par un appui bouton lorsqu'ils détectent un changement de visage. Les activités magnétiques cérébrales des sujets sont enregistrées grâce à la magnéto-encéphalographie, technique d'imagerie qui permet une résolution temporelle de l'ordre de la ms.
Le chercheur vous demande de réaliser la tâche suivante : décider le plus rapidement possible, en appuyant sur un bouton, si les mots présentés l'un après l'autre sur un écran désignent un objet naturel (ex : cochon) ou artificiel (ex : table). Les temps de réaction et les réponses sont alors être enregistrés de façon anonyme.
Des visages neutres sont présentés accompagnés de phrases décrivant une situation arrivée à la personne et pouvant induire chez elle une émotion positive (la joie) ou négative (la colère). Les mêmes visages sont à nouveau présentés, 1 à 7 min plus tard mais cette fois-ci sans contexte. Au bout de quelques essais, le visage change et est remplacé par celui d'une autre personne. La tâche des sujets est de porter leur attention à la fois sur les visages et sur les phrases entendues et répondre par un appui bouton lorsqu'ils détectent un changement de visage.
La tâche expérimentale consiste en un exercice simple sur ordinateur, le but étant de gagner le plus possible d'argent (virtuel) en réalisant un effort (serrer les pinces d'un dynamomètre). Cette tâche dure environ 40 minutes.
L'expérience dure 5 à 10 minutes, et consiste à goûter différents chocolats.
Vous devez effectuer une tâche qui consiste à estimer quelle est la plus grande branche de croix qui vous sont présentées. De temps en temps apparaissent furtivement des images de visages. Vous devez indiquer si vous avez vu ce visage, dans quel endroit de l'écran et quelle émotion il exprimait (joie, tristesse etc.)
Dans le cadre du projet ANR sur la lecture, 1000 sujets ont passé un test de décision lexicale pendant 2 heures. Dans une décision lexicale, le sujet voit un mot (arbre) ou un nonmot (tagadi) et il doit décider le plus rapidement possible si c'est un \"mot\" ou un \"nonmot\" en appuyant sur une touche. L'analyse des temps de réponse permet d'essayer de deviner quels facteurs influencent la lecture.
Une autre procédure souvent utilisée pour étudier la lecture est la dénomination : on présente un mot que le sujet doit dénommer le plus rapidement possible. On enregistre le temps que le sujet met pour dénommer le mot.
Dans d'autres tâche on fait lire des textes pendant lesquels on enregistre les mouvements oculaires. Cela permet de savoir combien de temps le sujet est resté sur un mot.
Le sujet n'a plus de perceptions visuelles et auditives (casque anti-bruit & masque occultant). La tâche consiste à se déplacer dans des directions successives. Les directions sont matérialisées par un fil qui relie des bornes disposées dans une pièce. A un moment de l'expérience, le sujet doit indiquer quel était son point de départ : la mémoire et la représentation spatiale du sujet sont mesurées par cet exercice.
Le sujet s'installe le plus confortablement possible dans un appareil d'IRM (Imagerie par résonnance magnétique) où il reste pendant toute la durée de l'expérience (environ 1 heure). Le chercheur lui demande d'appuyer sur un bouton à chaque fois qu'il perçoit un stimulus visuel, à droite ou à gauche selon l'endroit où il voit ce dernier.
On présente une dizaine de dialogues fictifs dans lesquels le premier interlocuteur énonce une phrase. Vous jouez le rôle de l'interlocuteur qui répond. Pour cela, une amorce de réponse vous est donnée et vous devez compléter la réponse en suivant votre imagination, mais en respectant le choix de certaines constructions grammaticales et de certains mots qui vous sont donnés.